Meravigliose immagini. Connexion. Informations de compte oubliées ? _____ trois yeux durs affolés Alda Merini _____________ j’ai eu moi aussi ma Palestine, s’écrivent sur les pierres Je suis bien sûre que rien n’étouffera plus mes rimes, en voyant ma virginité de mère Quatrième de couverture André Chenet. des corps nus que l’on flambe La publication de deux traductions du persan qu’il a réalisées en collaboration, avec Niloufar Sadighi et Amin Kâmrân, est prévue à ce jour : traduction des haïkus qu’Abbas Kiarostami a élaborés à partir des poèmes de Sa’di (à paraître chez Érès dans la collection « Po&psy ») et traduction d’un recueil de Rezâ Sâdeghpour (à paraître chez Cheyne dans la collection « D’une voix l’autre »). Voir plus de contenu de Alda Merini: le più belle poesie e frasi di Alda Merini sur Facebook. alda merini Oeuvre Margarita Sikorskaia Posté par : emmila à 22:51 - Poésie ou prose traduite en Français...Divers - Commentaires [1] - Permalien [ # ] au sourire très doux Genre : Féminin. _____ dans leur orbite, Le thème de l’amour parcourt tous les recueils de la poétesse Alda Merini (1931) publiés à ce jour – amour de Dieu, amour des autres (amants jeunes et moins jeunes, amis, famille) et amour de soi – un amour si exalté qu’on a pu (ou voulu) le relier aux troubles qui ont tourmenté l’auteur. Mon premier enlèvement de mère l'amore è un le più belle poesie d'amore di tutti i tempi alda merini, “ho bisogno di sentimenti”.. May 30, 2015 - Explore Veronica Giorgia Gambacurta's board " e fui preda della mia stessa materia. et regarde en ricanant les visages tristes algo que permanece demasiado terrenal. Présentation par Franck Merger publiée dans la revue Conférence, n° 26, (printemps 2008) pour accompagner les extraits de ses traductions de L’Autre Vérité. See more ideas about words, quotes, italian quotes. d’azur était un marais d’une malade sur le sol. 28-set-2019 - Questo Pin è stato scoperto da Alouette. Scopri (e salva) i tuoi Pin su Pinterest. Alda Merini est morte à Milan le 1er novembre 2009 des suites d'une tumeur osseuse[1]. L'amor que vull és la teva constant presència, és l'ull atent de l'amo orgullós de la seva bèstia. Alda Merini avait donné les premiers signes de maladie mentale dès 1947 – elle avait seize ans -, mais c’est en 1965 que son état s’est aggravé au point qu’elle a été internée à l’hôpital psychiatrique Paolo Pini de Milan, où elle est restée jusqu’en 1972. Diario di una diversa paru chez l’éditeur Scheiwiller en 1986. Alda Giuseppina Angela Merini, nació el 21 de marzo de 1931 en Milan , en el seno de una familia muy humilde. _____________ étaient les murs de Jéricho Commandeur de l'ordre du Mérite de la République italienne, https://fr.wikipedia.org/w/index.php?title=Alda_Merini&oldid=165963924, Article de Wikipédia avec notice d'autorité, Portail:Littérature italienne/Articles liés, Portail:Biographie/Articles liés/Culture et arts, licence Creative Commons attribution, partage dans les mêmes conditions, comment citer les auteurs et mentionner la licence. všečkov. Alda Merini s’est aussi consacrée à l’écriture de la prose. Ah ! _____ Je ne sais pas. Son père travaille dans les assurances et sa mère est femme au foyer. De 1961 à 1971, la maladie l’empêche d’écrire et ce n’est qu’à partir de 1972 que sa situation s’améliore et lui permet de recommencer d'écrire. Livre. Molti diedero al mio modo di vivere un nome. Sono una piccola ape furibonda. 19 talking about this. Umutsuzca Cézanne’i aradım ve senin mezarlığını buldum. Mais même étendue par terre var addthis_config = {"data_track_addressbar":true}; Danubiennes - Douze voix féminines de la poésie slovaque contemporaine, Filippo Ravizza, traduit de l’italien par Sylvie Durbec, Voix réunies Voces reunidas | Antonio Porchia, « Le monde vivable » (extraits) de Claudia Azzola, 14 poèmes de Nikki Giovanni, traduits de l’anglais (USA) par Sabine Huynh, 3 poèmes de HSI Muren 席慕容, présentation et traduction Emmanuelle Péchenart, 6 poèmes de Michela Zanarella traduits par Alain Bourdy, Ada Mondès - sélection de textes espagnol/français, Adeline Baldacchino, traduite par David Leo Sirois, Alba - Thomas Tsalapatis, traduit du grec par Nicole Chaperon, éditions Desmos, Alessandro Brusa, traduit de l’italien par Silvia Guzzi (1), Alessandro Brusa, traduit de l’italien par Silvia Guzzi (2), Ambar Past, traduite par Nicole Laurent-Catrice, Amedeo Anelli, traduit de l’italien par Irène Duboeuf, Andal : The Autobiography of a Goddess - Traduction d’une poète tamoule du IX° siècle, Antoni Clapés traduit du catalan par Denise Desautels, Aperçu sur la poésie de quatre poètes croates publiés par L’Ollave, Apirana TAYLOR, Pepetuna ; poèmes traduits de l’anglais (Nouvelle-Zélande) et du mãori par Manuel Van Thienen et Sonia A. Protti, par Jean Palomba, Arun Kokatkar : Jejuri - Traduit de l’anglais (Inde) par Roselyne Sibille - Editions Banyan, 2020, Carolina Massola, traduite de l’espagnol (Argentine) par Yves Roullière, Cécile Guivarch traduite en Galicien par Emilio Araúxo, Chandak Chattarji, traduit par Roselyne Sibille, Chansons et refrains d’absence, Miguel Hernandez, Clara Burghelea, traduite de l’anglais et lue par Sabine Huynh, Comme la pluie qui tombe sur la terre rouge : poèmes tamouls de l’époque Sangam, Constant Laval Williams traduit de l’anglais avec l’aide de Thibault Clairis-Gauthier, Dahlia RAVIKOVITCH, traduite de l’hébreu par Sabine Huynh, David Eloy Rodriguez, traduit de l’espagnol par Edouard Pons, Deborah Heissler, traduite par David Leo Sirois, Deux regards sur la traduction : Cécile A. Holdban et Thierry Gillyboeuf, Deux regards sur la traduction poétique : Roselyne Sibille et Sabine Huynh, Eeva-Liisa Manner, traduite du finnois par David Paigneau, Eeva-Liisa Manner, traduite du finnois par David Paigneau (2), Else Lesker-Shüller : La patrie du Verbe, par Véronique El Fakir, Enrique Noriega, traduit de l’espagnol (guatémaltèque) par Nicole Laurent-Catrice, Entre la vague et le vent, Georges Séféris, Éventail pour Ise, art du waka japonais, par Véronique Saint-Aubin Elfakir, Extraits de Ce qu’il reste d’abandon de Laurent Maindon traduit en anglais par Sabine Huynh, Filippo Ravizza, six poèmes inédits, traduits par Sylvie Durbec, Filomène Giglio et Franck Merger, la traduction de Maria Carta à quatre mains, Francis Catalano traduit en occitan par Maëlle Dupon, Giuliana Rocchi traduite du dialecte de Santarcangelo di Romagna par Gabriele Belletti, GULZAR : Le chant de la nature ; poèmes traduits de l’hindi par Jyoti Garin, Ganesha Rollé, Martine Gobert, par Jean Palomba, Huit poètes du Chiapas par Nicole Laurent-Catrice, István Kemény - traduit du hongrois par Guillaume Métayer, Jakub Kornhauser, traduit du polonais par Isabelle Macor, James Noël et Jean d’Amérique : vers levés, démonter les pierres, James Sacré traduit en galicien par Emilio Araúxo, Jane Hirshfield traduite par Delia Morris et Geneviève Liautard, Javier Vicedo Alós traduit de l’espagnol par Edouard Pons, Jean Paira-Pemberton : Ma terre ensemencée - Seeds in my ground, Jean-Pierre Villebramar, traduit en espagnol par Myriam Montoya, Jennifer Barber, traduite par Emmanuel Merle, Jets de poèmes - dans le vif de Fukushima - Ryôichi Wagô, José Maria Gomez Valero, traduit de l’espagnol par Edouard Pons, Journal intime de Guillaume Apollinaire, traduit en tchèque, Karen Alkalay-Gut, traduite par Sabine Huynh, Katie Farris, traduite de l’anglais (USA) par Sabine Huynh, Koyamparambath Satchidanandan, traduit de l’anglais par Roselyne Sibille, La chasse au lièvre, un poème de Margaret Cavendish traduit par Sabine Huynh, La Terre Sainte d’Alda Merini, par Véronique El Fakir, Le Shijing, traduit du chinois par Pierre Vinclair, Les « poèmes-hommages » de Vincent Calvet, Les Métamorphoses : quatre questions à Marie Cosnay, Lettres à Saïda / Scrisori pentru Saïda (extraits), Denis Emorine traduction en roumain par Flavia Cosma, Lin Wan-yu et Ling Yu, présentation et traduction par Camille Loivier, Linda Pastan, traduite par Raymond Farina, Lisa Pasold, traduite de l’anglais par Sabine Huynh, Lucetta Frisa, traduite de l’italien par Sylvie Durbec, Lueurs, Cid Corman, traduit de l’anglais par Danièle Faugeras, Luigi Carotenuto, traduit de l’italien par Irène Dubœuf, Malachi Black, traduit de l’américain par Béatrice Machet, Manfred Peter Hein, traduit de l’allemand par Natacha Ruedin-Royon, Marco Ercolani | {Journal secret d’Angelo Fiore (1963-65)}, Margherita Rimi, traduite de l’italien par Irène Dubœuf, Mariano Andrade, poèmes en espagnol (Argentine) et en français, Mark Strand, traduit par Cécile A. Holdban et Thierry Gillyboeuf, Martine Audet, traduite en espagnol par Mercedes Roffé, Matt Rosen traduit André Breton et Pierre Reverdy en anglais, Michela Zanarella, traduite de l’italien par Alain Bourdy, Milo De Angelis, Rencontres et guet-apens, traduit de l’italien par Sylvie Fabre G. et Angèle Paoli, Miri BEN-SIMHON, traduite de l’hébreu par Sabine Huynh, Mosche in bottiglia (Mouches en bouteille) de Leonardo Sinisgalli traduit par Thierry Gillyboeuf, Nadja Küchenmeister : Sous le genévrier / Unter dem Wacholder - traduit de l’allemand par Natacha Ruedin-Royon, Nichita Stănescu présenté par Pierre Drogi, Niloufar Sadighi et Franck Merger, la traduction d’Abbas Kiarostami à quatre mains, Nivaria Tejera traduite par Nicole Laurent-Catrice, Notre morceau de planète - Sladjan Lipovec, Omar Youssef Souleimane traduit de l’arabe (Syrie) par Salah Al Hamdani et Isabelle Lagny, Piergiorgio Viti, traduction de l’italien par Thierry Gillyboeuf, Pierre Lepori, traduit de l’italien par Mathilde Vischer, Poèmes d’Ada Salas, traduction Jean Gabriel Cosculluela, Poésie syrienne d’aujourd’hui, par Florence Saint-Roch, Poètes du Chiapas par Nicole Laurent-Catrice, Priya Sarukkai Chabria, traduite de l’anglais par Roselyne Sibille, Quatre poètes irakiens : Aya Mansour, Ali Thareb, Kadhem Khanjar et Mazin Mamoory, Quatre poètes turcs, florilège préparé par Claire Lajus, Rati Saxena, poète indienne, traduite de l’anglais par Raymond Farina, Raymond Farina en italien, espagnol, allemand et roumain, Raymond Farina traduit en italien, roumain et anglais, René Crevel : quatre textes critiques / four critical texts (traduction : Matt Rosen), Rivka Basman-Ben Hayim, traduite par Zelda Kahan Newman (anglais) et Sabine Huynh (français), Rohan Chhetri, népalo-indien, traduit par Eric Auzoux, Roselyne Sibille traduite en trois langues de l’Inde, Roselyne Sibille, traduite en tchèque par Jana Podhorska. survint une nuit d’été Ces deux êtres, chacun sur une rive de la vie, font des mots un … Par René de Ceccatty . Sept poèmes de Pier Francesco De Iulio... Sonia Lambertini traduite par Silvia Guzzi, Sophia De Mello Breyner Andresen, traduite du portugais par Raymond Farina, Sur la musicalité du vide 2 de Matthieu Gosztola traduit en hongrois, Sur la poésie de Lebogang Mashile et de Ronelda Kamfer, deux poètes sud-africaines, par Christine Bloyet, Teresa Soto - extraits de nudos/noeuds et de caídas/chutes, Thomas Ioannou, traduit du grec par Clio Mavroeidakos, Traduire de la poésie norvégienne : un entretien avec Anne-Marie Soulier et François Monnet, Traduire la poésie – entre le croate et le français, Traduire, ce n’est pas que remplacer des mots, Trois poètes italiens traduits par Francis Catalano*, Une autre Aurélia, Jean-François Billeter, par Françoise Delorme, Une fenêtre sur la mer : anthologie de la poésie corse actuelle, Virgil Mazilescu, traduction du roumain et présentation par Pierre Drogi, Yiorgos Stergiopoulos, traduit du grec moderne par Anne Barbusse, Yona Wallach, traduite de l’hébreu par Sabine Huynh, Yorgos Alisanoglou, traduit du grec par Nicole Chaperon et Clio Mavroeidakos, « Le Cimetière marin » et « Les Pas » de Paul Valéry, traduits en anglais par David Leo Sirois. Bir ısırıkla ayırdın kulağımı ve duanın Van Gogh’uydum. d’une survie qu’on t’interdit. Voilà l’entassement que la stratosphère Elle est morte à Milan, d'un cancer des os, le 1er novembre 2009. tu dictes tes vers à l’humanité, Frasi e citazioni di Frida Kahlo. della santa della sanguinaria e dell’ipocrita. _____ En ces murs nous étions juifs Source(s) : Un' anima indocile : parole e poesie / Alda Merini, 1997 Diz. Alda Merini, nació en Milán, Italia, un 21 de marzo de 1931. _____ étions comme les oiseaux la rencontre (im)possible entre le poète (mais aussi) psychiatre Angelo Guarnieri. Merini, Alda (1931-2009 ; poétesse) Information (par souci de protection des données à caractère personnel, le jour et le mois de naissance ne sont pas affichés) Langue d'expression : Italien. Auteur. le délire se fait écho Connexion. _____________ et parfois un filet Voir plus de contenu de Parole e poesie di Alda Merini sur Facebook. Alda Merini, « de sa fièvre amoureuse » Mais toi, si, tu maudis n’a pas le droit d’aimer. Series: Biblioteca moderna Prova d'autore. 18-mag-2012 - Questo Pin è stato scoperto da OphelinhaP. _____ j’ai vu un malade Notes. Alda nel cuore 2017 - poesia Published on Mar 21, 2017 Antologia di poesia a tema libero dedicata a Alda Merini in collaborazione con 139 Autori, curatore Matteo Cotugno. Niente è più necessario di ciò che non serve. aujourd’hui je chante pour toi et l’arbre de la connaissance Elle était quelquefois autorisée à en sortir pour des périodes plus ou moins longues et c’est au cours de ces sorties qu’elle a donné naissance à deux filles, Barbara et Simona (Alda Merini avait déjà eu deux filles avant d’être hospitalisée).